Soupe de fruits rouges épicée

Mots-clefs :

Dessert

Ingrédients (pour 10 à 12 personnes) :
- 150 cl de vin rouge corsé (corbières, …),
- 200 g de sucre en poudre,
- 2 cuillerées à soupe de baies roses,
- 2 bâtons de cannelle,
- 10 grains de poivre noir,
- 2 étoiles de badiane,
- 2 gousses de vanille,
- 1 kg de fraises,
- 1,400 kg de fruits rouges d’au moins 4 sortes, par exemple :
* 350 g de cerises griottes dénoyautées au sirop,
* 150 g de framboises,
* 300 g de groseilles rouges,
* 400 g de fraises,
* 200 g de petites prunes rouges,
- 20 petites feuilles de menthe fraîche,
et, en options :
- 10 boules de glace à la vanille,
- petits gâteaux secs (crêpes dentelles, spéculos, cigarettes russes, éventails, langues de chat, …).

Temps nécessaires :
- anticipation : 24 heures.
- préparation : 30 minutes,
- macération : 18 à 24 h,
- finition : 10 minutes.

Si certains fruits sont congelés (framboises, groseilles, prunes), les laisser décongeler et égoutter tranquillement (surtout s’il s’agit de framboises).

Dans une grande casserole en acier inoxydable, porter le vin à ébullition en y ajoutant le sucre. Ajouter les baies roses, les grains de poivre, la cannelle et la badiane. Aplatir les gousses de vanille, les couper en 2 dans leurs longueurs, gratter l’intérieur avec un couteau pour récupérer la pulpe et les graines et ajouter graines et gousses dans le vin chaud.

Laisser bouillonner pour réduire de moitié (il faut compter de 20 minutes à 1 heure…) puis retirer du feu et laisser refroidir.

Pendant ce temps, laver et dénoyauter les prunes si ce n’est pas déjà fait puis les couper en 4 et les déposer dans un grand saladier.

Laver et égrener les groseilles si ce n’est déjà fait et les ajouter dans le saladier.

Récupérer le sirop des cerises dans un récipient et ajouter les cerises dans un grand saladier.

Rincer les fraises, les équeuter, les couper en 2 (4 si elles sont grosses) et les ajouter dans le saladier.

Verser le vin tiède dans le saladier en le filtrant à travers une passoire métallique ; compléter avec du sirop de cerises pour couvrir les fruits et mélanger délicatement.

Ajouter les framboises, couvrir hermétiquement et placer au réfrigérateur.

Juste avant de servir, laver et sécher la menthe.

Répartir la soupe de fruits dans des coupelles, de petites assiettes à soupe ou des coupes à fruits ou à champagne.

Ajouter 1 boule de glace, 2 feuilles de menthe, dresser les gâteaux et servir !

1 étoile2 étoiles3 étoiles4 étoiles5 étoiles (2 votes, moyenne : 5,00 sur 5)
Loading ... Loading ...

Blanquette de veau printanière au monbazillac

Mots-clefs :

Plat complet

Variante printanière de la blanquette de Corinne et Gérard P.
Encore merci Corinne et Gérard !

Ah, au fait, quel vin choisir pour bien accompagner avec Parcimonie et Modération, une blanquette de veau ? Voir les suggestions d’Alexis du site « Accord mets et vins », copain de la recette du dredi sur ce thème !

Ingrédients (pour 6 personnes)
- 1 kg de viande pour sauté de veau,
- 2 cuillerées à soupe d’huile d’olive,
- 2 gousses d’ail,
- 2 oignons sauciers,
- 1 bouteille de monbazillac,
- 25 cl de fond de veau,
- 12,5 cl de crème fraîche,
- 1 cuillerée à soupe de gingembre en poudre,
- 10 brins de persil plat ou de coriandre,
- 300 g de carottes nouvelles,
- 300 g de petites pommes de terre nouvelles,
- 300 g de brocolis,
- 500 g de petits pois ou de fèves non écossés (ou moitié moitié),
- 300 g de petits champignons de Paris frais (ou à la rigueur une boite format ¼ de petits champignons de Paris entiers),
- sel fin et poivre blanc moulu.

Temps nécessaires :
- préparation : 20 minutes (le reste en temps masqué),
- cuisson : 2 fois 2 heures.

Dans une cocotte, faire chauffer l’huile d’olive puis y faire suer et dorer le veau détaillé en gros dés.

Éplucher les oignons et les hacher. Éplucher, dégermer et hacher finement l’ail.

Une fois la viande dorée, la retirer avec une écumoire, la réserver et mettre l’oignon à rissoler à sa place.

Une fois l’oignon doré, ajouter l’ail puis la viande, saler, poivrer et noyer avec le monbazillac. Porter à ébullition puis baisser le feu pour que ça mijote sans bouillir.

Mélanger le fonds de veau avec la crème fraîche et ajouter ce mélange dans la cocotte, ainsi que le gingembre et le persil ou la coriandre ciselés, couvrir et laisser mijoter sans bouillon pendant 2 heures (à partir de là ne jamais reporter à ébullition car ça ferait tourner la crème : une autre solution est de prélever une louche de bouillon en fin de cuisson, de la lier avec la crème fraîche et d’arroser le ragoût de ce mélange juste avant de servir, hors du feu).

On peut s’arrêter à ce stade, réserver au frais, puis reprendre la cuisson 2 heures avant de servir.

Éplucher les carottes nouvelles, les débiter en tronçons d’environ 4 cm de longueur puis couper ces tronçons en 2 ou 4 dans leur longueur.

Éplucher les pommes de terre nouvelles et les couper en 4 dans leur longueur.

Ajouter carottes et pommes de terre dans la cocotte 45 minutes avant de servir.

Laver le chou brocolis sous l’eau courante. Prélever ses bouquets puis éplucher les tiges et les détailler en dés d’1 cm.

Blanchir les dés de tiges 5 minutes à la vapeur puis ajouter les bouquets et continuer 2 minutes, rafraîchir sous l’eau courante et réserver.

Écosser les petits pois et / ou les fèves, les blanchir à la vapeur 10 minutes puis les rafraîchir sous l’eau courante et les réserver. Éliminer la peau des fèves si elle est ferme.

Éliminer la partie terreuse du pied des champignons et brosser délicatement avec un pinceau à poils souples pour enlever les éventuelles particules de terre présentes sur les pieds ou les chapeaux. Les couper en quartiers et réserver.

15 minutes avant de servir, gouter le bouillon de cuisson et ajuster si nécessaire l’assaisonnement avec sel fin et poivre blanc moulu. Mélanger délicatement, ajouter petits pois et ou fèves, brocolis et champignons, couvrir et finir la cuisson.

Servir bien chaud dans la cocotte.

1 étoile2 étoiles3 étoiles4 étoiles5 étoiles (5 votes, moyenne : 4,00 sur 5)
Loading ... Loading ...

Rossbif alsacien

Mots-clefs : ,

Plat et son accompagnement

Un plat spécial pour la Saint-Philippe (car, aujourd’hui, on est le 3 mai !). En effet le patronyme Philippe vient du grec philo, qui aime, et hippos, le cheval :D ! Et, bien qu’ayant été prénommé René (né une seconde fois… en gros sauvé des eaux comme Moïse !), patronyme que j’adore, Philippe m’aurait aussi parfaitement convenu ! Car depuis ma plus tendre enfance, à Paris, le mardi ou le jeudi, c’était pas ravioli mais bifteck (et pas viande…) de cheval haché crû !

Il faut savoir qu’en Alsace, le roast beaf (devenu en France rosbif qui désigne aussi les Anglais qui ne le font en fait pas roast mais boiled… va savoir pourquoi futur (?) king Charles ?) …bref, en Alsace, le rosbif, lorsqu’il n’est pas de bœuf mais de cheval, est désigné sous le nom de « rossbif ». C’est une plaisanterie alsacienne frôlant l’escroquerie, car ross veut dire cheval en vieux français et en alsacien (ce mot désignait un vieux cheval décharné et sans force : une rosse (d’où le nom du cheval de don Quichotte de la Mancha de Miguel de Cervantes y Saavedra : Rossinante !). Aussi, si vous allez dans un restaurant et que vous y voyez sur la carte le rosbif orthographié rossbif et que, d’une part vous n’êtes pas mangeur de cheval où que vous êtes amateur de viande rouge « bleue » ou juste cuite, n’en prenez pas : car le rossbif alsacien est une recette de très longue macération et de très longue cuisson qui efface la fadeur de la viande de cheval et fait oublier à ceux qui le mangent qu’il s’agit d’un noble morceau de viande du deuxième animal le plus fidèle de la femme et de l’homme (après Caro la bergère Malinoise, Pipo le Caniche, Mi-Ya le Lassa-apso, Su-Ya la Chi-tsu, Bob le Lassa-apso Chi-tsu et Ajax le Carlin internaute, désormais chinois comme ses parents adoptifs ! !

Bon, nous, le cheval, on le préfère acheté au marché (vu que les boucheries chevaline ont quasiment disparues en France), haché cru devant nous frais et nulle part ailleurs par les temps qui courent (aujourd’hui très vite sur internet…), bref, le bifteck de cheval haché cru, bien relevé avec une grande quantité de moutarde, abondance de sel et poivre, et éventuellement échalote hachée pour Chantal, ou parfois câpres pour moi, tartiné sur une bonne baguette parisienne pas très cuite et bien fraîche, c’est top et bon pour la santé…

Mais, si vous voulez manger du cheval sans consommer des plats préparés trafiqués à votre insu, cette recette ancestrale alsacienne, elle vaut le coup de la goûter au moins une fois dans sa vie (ou plus si affinités…).

Ingrédients (pour 4 personnes) :
- 750 g de rôti de cheval (poire, longe, macreuse, épaule, …),
- 20 grains de poivre noir,
- 1 carotte,
- 2 oignons sauciers,
- 2 gousses d’ail,
- 1 tomate,
- 1 branche de thym,
- 2 feuilles de laurier,
- 6 tiges de persil,
- 3 clous de girofle,
- 1 pointe de noix de muscade moulue,
- 1 cuillerée à café de quatre-épices,
- 25 cl de litre de vin blanc sec,
- 1 l de vin rouge,
- 2 cuillerées à soupe d’huile de ménage,
- 1 petite boîte de concentré de tomate,
- 1 cuillerée à soupe de moutarde,
- 25 cl de bière blonde,
- 1 filet de vinaigre de vin,
- 1 plaquette de bouillon de bœuf désydraté,
- 1 à 2 cuillerées à soupe de Maïzena,
- sel, poivre.
- 500 g de pâtes fraiches ou 1 kg de petites pommes de terre nouvelles.

Temps nécessaires :
- préparation initiale : 30 minutes,
- marinage : 2 à 4 jours,
- cuisson : 3 heures à 3 heures 30 minutes,
- finition : 1 heure.

4 à 6 jours avant le repas, concasser les grains de poivre.

Sécher le rôti au papier ménager, le rouler dans le poivre pour qu’il en soit garni de toutes parts et mettre au réfrigérateur de 30 minutes à 2 heures.

Pendant ce temps, éplucher la carotte, les oignons et l’ail. Couper les carottes en rondelles, les oignons en 4 et l’ail en 2 (enlever le germe). Laver la tomate, la couper en 4 et éliminer le trognon.

Dans un grand récipient fermant hermétiquement, placer la viande, la carotte, les oignons, l’ail, la tomate, le thym, le laurier, les tiges de persil, les clous de girofle, la muscade, le quatre-épices, 1 cuillerée à café de sel fin, ajouter vin blanc, vin rouge et compléter si nécessaire avec de l’eau pour recouvrir la viande.

Fermer et laisser mariner 2 à 4 jours au réfrigérateur en retournant le rôti chaque jour.

La veille du repas, faire chauffer l’huile dans une cocotte en fonte.

Prélever la viande, la sécher avec du papier ménager puis la faire rissoler de toutes parts dans la cocotte.

Réserver la viande et la remplacer par la garniture de la marinade prélevée à l’écumoire.

Dans une grande casserole faire bouillir le liquide de la marinade et écumer si nécessaire.

Délayer le concentré de tomate et la moutarde dans la bière.

Lorsque les légumes ont pris une belle couleur, rajouter la viande dans la cocotte puis la bière aromatisée, le liquide de marinage, un filet de vinaigre et la plaquette de bouillon de bœuf.

Compléter avec de l’eau pour que la viande soit couverte, porter à ébullition puis baisser le feu, couvrir et laisser mijoter 2h30 à 3h.

Réserver la viande dans un récipient étanche au réfrigérateur. Éliminer les feuilles de laurier et le thym, mixer le bouillon avec le reste de l’accompagnement aromatique, le reverser dans la cocotte, couvrir et réserver au frais.

1 heure avant de servir, placer la viande 15 minutes dans le freezer et préchauffer le four à 180°C (thermostat 6).

Chauffer la sauce, la faire épaissir en mélangeant avec 1 à 2 cuillerées à soupe de Maïzena.

Couper la viande en fines tranches, les placer dans la sauce pour que celle-ci les nappe.

Couvrir et enfourner pour 45 minutes.

Accompagner de spaëtzles (pâtes fraiches) ou de petites pommes de terre nouvelles cuites à la vapeur ou dans la cocotte, au four.

Bon, sinon, Pony le petit poney, si tu es bon en  » Moon walk « , fais gaffe quand même à Findus !

et voici la vraie pub qu’a piratée cette parodie :

1 étoile2 étoiles3 étoiles4 étoiles5 étoiles (7 votes, moyenne : 4,00 sur 5)
Loading ... Loading ...

When I’m 64 !

Mots-clefs :

Ben c’était pile poil à l’instant où a été publié ce message ! :D

Et, malgré cela, j’avais alors toujours mes cheveux et je faisais toujours la cuisine !

Et comme envers et contre tout, Chantal et moi on est toujours ensemble 46 ans plus tard (marrant 46 c’est un peu le 69 de 64 :D ), j’espère que ça va durer !

J’ai essayé de trouver une bonne traduction de cette inoubliable chanson des Beatles, une de celles qui me les a fait apprécier à partir de 1967 car, avant « Sergeant Pepper’s heart club band », je leur préférais de loin les Rollingstones… Mais là, après Revolver, les Beatles frappèrent un grand coup avant de sortir leur monument : le « Double blanc » ! Bref, pour mes 64 ans, j’ai essayé de trouver une bonne traduction de « When I’m 64 » mais aucune ne m’a satisfaite alors j’en ai commise une…

When I get older losing my hair,
Many years from now,
Will you still be sending me a valentine
Birthday greetings bottle of wine?


Quand je serai vieux et que je perdrai mes cheveux, dans pas mal d’années, continueras-tu à m’envoyer une bonne bouteille de vin pour la Saint-Valentin ?

If I’d been out till quarter to three
Would you lock the door,
Will you still need me, will you still feed me,
When I’m sixty-four?


Si je sors jusqu’à trois heures moins le quart du matin auras-tu fermé la porte, auras-tu encore besoin de moi, me feras-tu encore à manger, lorsque j’aurai 64 ans ?

oo oo oo oo oo oo oo oooo
You’ll be older too, (ah ah ah ah ah)
And if you say the word,
I could stay with you.


Oh, oh, oh, oh, oh ! Tu auras vieilli toi aussi (ah, ah, ah, ah, ah !) mais si tu le dis, je resterai avec toi.

I could be handy mending a fuse
When your lights have gone.
You can knit a sweater by the fireside
Sunday mornings go for a ride.


Je pourrais t’aider à remplacer un plomb si ta lumière ne marche plus. Tu pourras tricoter un pull au coin du feu, le dimanche matin te promener à cheval.

Doing the garden, digging the weeds,
Who could ask for more?
Will you still need me, will you still feed me,
When I’m sixty-four?


Faire le jardin, arracher les mauvaises herbes, qui demanderait plus ? Auras-tu encore besoin de moi, me feras-tu encore à manger lorsque j’aurai 64 ans ?

Every summer we can rent a cottage
In the Isle of Wight, if it’s not too dear
We shall scrimp and save
Grandchildren on your knee
Vera, Chuck, and Dave


Chaque été nous pourrons louer une petite maison de campagne sur l’île de Wright, si ce n’est pas trop cher (nous économiserons et mettrons de côté), les petits-enfants sur tes genoux : Vera, Chuck et Dave !

Send me a postcard, drop me a line,
Stating point of view.
Indicate precisely what you mean to say
Yours sincerely, Wasting Away.


Envoie-moi une carte postale, écrit-moi un mot, pour préciser ton intention… Inutile d’ajouter « Sentiments distingués », ça n’est pas nécessaire.

Give me your answer, fill in a form
Mine for evermore
Will you still need me, will you still feed me,
When I’m sixty-four?


Donne moi ta réponse en bonne et due forme qui sera mienne pour toujours : auras-tu encore besoin de moi, me feras-tu encore à manger lorsque j’aurai 64 ans ?

Whoo!


Ouah !

Mais, au fait, qui est représenté sur la pochette de Sgt. Pepper’s lonely hearts club band ?

1 – Au dernier rang : Sri Yukteswar Giri, astrologue, yogi et gourou indien, commentateur de la Bhagavad Gita et de la Bible (° 1855-† 1936).
2 – Au dernier rang : Edward Alexander Crowley, écrivain et occultiste britannique (° 1875-† 1947).
3 – Au dernier rang : Mary Jane West dite Mae West, actrice américaine (° 1893-† 1980).
4 – Au dernier rang : Lenny Bruce, comique, scénariste, acteur et réalisateur américain (° 1925-† 1966).
5 – Au dernier rang : Karlheinz Stockhausen, compositeur allemand (° 1928-† 2007).
6 – Au dernier rang : William Claude Dukenfield dit W. C. Fields, jongleur, humoriste, scénariste et acteur américain (° 1880-† 1946).
7 – Au dernier rang : Carl Gustav Jung, médecin, psychiatre, psychologue et essayiste suisse (° 1875-† 1961).
8 – Au dernier rang : Edgar Allan Poe, poète, romancier, nouvelliste, critique littéraire, dramaturge et éditeur américain (° 1809-† 1849).
9 – Au dernier rang : Frederick Austerlitz dit Fred Astaire, danseur, acteur et chanteur américain (° 1899-† 1987).
10 – Au dernier rang : Richard Merkin, peintre, dessinateur et illustrateur américain (° 1938-† 2009).
11 – Au dernier rang : Une « Vargas Girl » d’Alberto Vargas, dessinateur américain (° 1896-† 1982).
13 – Au dernier rang : Huntz Hall, acteur américain (° 1919-† 1999).
14 – Au dernier rang : Simon Rodia, italien émigré aux États-Unis, décorateur et architecte constructeur des « Watts Towers » à Watts aux USA (° 1879-† 1965).
15 – Au dernier rang : Robert Allen Zimmerman dit Bob Dylan, auteur-compositeur-interprète, peintre et poète américain (° 1941).
16 – Au troisième rang : Aubrey Vincent Beardsley, illustrateur et dandy britannique (° 1872-† 1898).
17 – Au troisième rang : Robert Peel, baronnet et premier ministre britannique (° 1788-† 1850).
18 – Au troisième rang : Aldous Leonard Huxley, écrivain britannique (° 1894-† 1963).
19 – Au troisième rang : Dylan Thomas, écrivain et poète gallois (° 1914-† 1953).
20 – Au troisième rang : Terry Southern, écrivain, scénariste, acteur et producteur de cinéma américain (° 1924-† 1995).
21 – Au troisième rang : Dion DiMucci, chanteur américain de rock’n roll et de rhythm and blues (° 1939).
22 – Au troisième rang : Bernard Schwartz dit Tony Curtis, acteur et producteur américain (° 1925-† 2010).
23 – Au troisième rang : Wallace Berman, artiste plasticien américain (° 1926-† 1976).
24 – Au troisième rang : Thomas Reginald Handley dit Tommy Handley, humorist et comédien britannique (° 1892-† 1949).
25 – Au troisième rang : Norma Jeane Mortenson ou Norma Jeane Baker dite Marilyn Monroe, actrice et chanteuse américaine (° 1926-† 1962).
26 – Au troisième rang : William S. Burroughs, romancier américain (° 1914-† 1997).
27 – Au troisième rang : Sri Mahavatar Babaji, gourou indien (° avant 1861-† après 1935).
28 – Au troisième rang : Arthur Stanley Jefferson dit Stan Laurel, acteur, scénariste et réalisateur britannique (° 1890-† 1965).
29 – Au troisième rang : Richard Lindner, peintre américain d’origine allemande (° 1901-† 1978).
30 – Au troisième rang : Oliver Hardy, acteur de cinéma américain (° 1892-† 1957).
31 – Au troisième rang : Karl Heinrich Marx, historien, journaliste, philosophe, économiste, sociologue, essayiste et théoricien révolutionnaire socialiste et communiste allemand (° 1818-† 1883).
32 – Au troisième rang : Herbert George Wells dit H.G. Wells, écrivain britannique (° 1866-† 1946).
33 – Au troisième rang : Sri Paramahansa Yogananda, yogi et gourou indien (° 1893-† 1952).
Certains disent qu’entre 33 et 34, au troisième rang, il y aurait Sigismund Schlomo Freud, médecin neurologue autrichien fondateur de la psychanalyse (° 1856-† 1939) : pas trouvé, même au microscope !
34 – Au troisième rang : Une femme inconnue.
35 – Au deuxième rang : Stuart Fergusson Victor Sutcliffe, peintre et musicien britannique d’origine écossaise, membre des Beatles de 1960 à 1961 (° 1940-† 1962).
36 – Au deuxième rang : Une personne inconnue.
37 – Au deuxième rang : Thomas Henry Sargent dit Max Miller, comédien britannique (° 1894-† 1963).
38 – Au deuxième rang : Une « Petty Girl » de George Brown Petty IV, dessinateur américain (° 1894-† 1975).
39 – Au deuxième rang : Marlon Brando, acteur américain (° 1924-† 2004).
40 – Au deuxième rang : Thomas Hezikiah Mix dit Tom Mix, acteur, réalisateur, scénariste et producteur américain (° 1880-† 1940).
41 – Au deuxième rang : Oscar Fingal O’Flahertie Wills Wilde dit Oscar Wilde, écrivain irlandais (° 1854-† 1900).
42 – Au deuxième rang : Tyrone Edmund Power Jr. dit Tyrone Power, acteur américain (° 1913-† 1958).
43 – Au deuxième rang : Larry Bell, artiste peintre et sculpteur américain (° 1939).
44 – Au deuxième rang : David Livingstone, médecin, missionnaire protestant et explorateur écossais (° 1813-† 1873).
45 – Au deuxième rang : Johann Peter Weissmüller ou János Péter Weissmüller dit Johnny Weissmuller, nageur olympique et acteur américain (° 1904-† 1984)
46 – Au deuxième rang : Stephen Crane, écrivain américain (° 1871-† 1900).
Certains disent qu’entre 46 et 47, au deuxième rang, il y aurait James Byron Dean dit James Dean, acteur américain (° 1931-† 1955) : pas trouvé, même au microscope !
47 – Au deuxième rang : Issy Bonn, acteur, chanteur et comédien britannique (° 1903-† 1977).
48 – Au deuxième rang : George Bernard Shaw, critique musical, dramaturge, essayiste, scénariste, auteur de pièces de théâtre irlandais (° 1856-† 1950).
49 – Au deuxième rang : Horace Clifford Westermann dit H. C. Westermann, graveur et sculpteur américain (° 1922-† 1981).
50 – Au deuxième rang : Albert Stubbins, footballeur anglais du Liverpool Football Club (° 1920-† 2002).
51 – Au deuxième rang : Shyama Charan Lahiri dit Sri Lahiri Mahasaya, yogi et gourou indien (° 1828-† 1895).
52 – Au deuxième rang : Charles Lutwidge Dodgson dit Lewis Carroll, romancier, essayiste, photographe et mathématicien britannique (° 1832-† 1898).
53 – Au deuxième rang : Thomas Edward Lawrence dit Lawrence d’Arabie, archéologue, officier, aventurier, espion et écrivain britannique (° 1888-† 1935).
54 – Au premier rang : Charles L. Liston dit Sonny Liston, boxeur américain (° 1932-† 1970).
55 – Au premier rang : Une autre Petty Girl de George Petty.
56 – Au premier rang : Statue de cire de George Harrison.
57 – Au premier rang : Statue de cire de John Lennon.
58 – Au premier rang : Shirley Temple, actrice et diplomate américaine (° 1928).
59 – Au premier rang : Statue de cire de Ringo Starr.
60 – Au premier rang : Statue de cire de Paul McCartney.
61 – Au premier rang : Albert Einstein, physicien allemand de naissance puis apatride en 1896, suisse en 1901 et helvético-américain en 1940 (° 1879-† 1955)
62 – Au premier rang : John Winston Lennon dit John Lennon, musicien, auteur-compositeur, guitariste, chanteur et écrivain britannique, fondateur des Beatles (° 1940-† 1980).
63 – Au premier rang : Richard Starkey dit Ringo Starr, musicien, chanteur, auteur-compositeur et acteur britannique (° 1940).
64 – Au premier rang : James Paul McCartney dit Paul McCartney, musicien, auteur-compositeur et chanteur britannique (° 1942).
65 – Au premier rang : George Harrison, musicien, auteur-compositeur, chanteur et producteur de cinéma britannique (° 1943-† 2001).
66 – Au premier rang : Bobby Breen, acteur et chanteur canadien (° 1927).
67 – Au premier rang : Marie Magdalene Dietrich dite Marlene Dietrich, actrice et chanteuse d’origine allemande naturalisée américaine en 1937 (° 1901-† 1992).
69 – Au premier rang : Soldat de l’ « ordre des buffles ».
70 – Au premier rang : Diana Dors, actrice anglaise (° 1931-† 1984).
71 – Au premier rang : Une autre représentation de Shirley Temple enfant.
72 – Dans l’avant scène : Poupée en tissu de grand-mère de Jann Haworth (° 1942), artiste pop américaine co-créatrice avec son époux Peter Blake (° 1932), dessinateur industriel et d’art, de la couverture de l’album des Beatles « Sgt. Pepper’s Lonely Hearts Club Band » avec la participation du groupe de graphistes néerlandais The Fool.
73 – Dans l’avant scène : Poupée en tissu de Shirley Temple de Jann Haworth.
74 – Dans l’avant scène : Chandelier mexicain.
75 – Dans l’avant scène : Téléviseur.
76 – Dans l’avant scène : Buste de jeune femme.
77 – Dans l’avant scène : Buste.
78 – Dans l’avant scène : Buste de la maison de John Lennon.
79 – Dans l’avant scène : Trophée.
80 – Dans l’avant scène : Déesse indienne à quatre bras.
81 – Dans l’avant scène : Grosse caisse décorée par Joe Ephgrave, artiste forain (° ?-† ?).
82 – Dans l’avant scène : Narguilé.
83 – Dans l’avant scène : Serpent en velours.
84 – Dans l’avant scène : Buste japonais.
85 – Dans l’avant scène : Buste de Blanche-Neige.
86 – Dans l’avant scène : Nain de jardin.
87 – Dans l’avant scène : Tuba.

Whoo !

1 étoile2 étoiles3 étoiles4 étoiles5 étoiles (1 votes, moyenne : 5,00 sur 5)
Loading ... Loading ...

Poulet korma

Mots-clefs : ,

Plat

Une recette indienne rapportée par Philippe, mon petit cousin issu de Julienne « délocalisé » 1 an en Inde, que j’ai traduite et complétée par des options trouvées sur le ouaibe ! Notamment sur Cuisine indienne !

Ingrédients (pour 4 personnes) :
- 800 g de poulet (de préférence des blancs mais on peut aussi réaliser avec des pilons ou des hauts-de-cuisse),
- 1 gros oignon jaune,
- 3 cuillerées à soupe d’huile d’olive,
- 2 cuillerées à soupe de graines de pavot bleu,
- 2 cuillerées à café de gingembre en poudre,
- 2 gousses d’ail,
- 2 petits piments de Cayenne séchés,
- 1 cuillerée à soupe de graines de coriandre,
- 1 cuillerée à café de graines de cumin,
- 3 ou 4 graines de cardamome,
- 40 cl de lait de coco,
- 12,5 cl de yaourt ou de lait caillé,
- sel fin et poivre du moulin,

et, en options :
- 1 petite boîte de concentré de tomates,
- 1 tablette de bouillon de poule déshydraté,
- 75 g d’amandes en poudre,
- 50 g d’amandes effilées,
- 1 cuillerée à café de feuilles de coriandre ciselées, fraîches ou séchées,

et par exemple, en accompagnement :
- 250 g de riz basmati,
- 500 g de courgettes en dés cuites et confites dans l’huile d’olive, façon ratatouille…

Temps nécessaires :
- préparation : 30 minutes,
- cuisson : 45 minutes.

Peler et émincer l’oignon. Faire chauffer l’huile dans une grande sauteuse ou une cocotte et y faire suer l’oignon à feu doux (thermostat plaque 3/9) jusqu’à ce qu’il devienne translucide sans dorer puis ajouter la poudre de gingembre, mélanger et réserver à feu très doux (thermostat plaque 2/9).

Pendant ce temps, mettre les graines de pavot bleu à tremper 10 minutes dans un bol d’eau chaude.

Couper les blancs de poulet en morceaux d’environ 3 cm de côté ou enlever la peau des pilons ou des hauts de cuisses de poulet et sécher le poulet à l’aide de papier alimentaire puis l’ajouter dans la sauteuse en remuant souvent pour saisir le poulet sans le dorer. Saler et poivrer vers la fin puis réserver hors du feu.

Éplucher les gousses d’ail et les dégermer. Émietter les piments séchés avec les doigts et éliminer leurs graines.

Mixer l’ail avec le piment, les graines de coriandre, de cumin et de cardamome.

Ajouter le lait de coco et la poudre d’amande éventuelle et mixer de nouveau.

Ajouter le concentré de tomate éventuel et le yaourt et mixer de nouveau. Si option tablette de bouillon de poule déshydraté, la faire dissoudre dans 12,5 cl d’eau.

Environ 45 minutes avant de servir, ajouter le lait de coco aromatisé et le bouillon de poule ou 10 cl d’eau au poulet. Mélanger et porter à ébullition puis baisser le feu et laisser frémir à découvert 40 minutes. À mi-cuisson, goûter la sauce et rectifier éventuellement son assaisonnement avec sel et poivre.

Si option riz, faire bouillir une grande quantité d’eau salée dans une casserole et y faire cuire le riz la durée indiquée sur le paquet (en général 11 minutes) pour que sa cuisson finisse peu avant celle du poulet. L’égoutter après cuisson et le transférer dans un petit saladier.

Si option courgettes, préparées tranquillement auparavant, les réchauffer à feu doux et à couvert.

Si option amandes effilées, les griller dans un poêlon et les transférer dans une coupelle.

Si la sauteuse ou la cocotte n’est pas « présentable », transférer le poulet et sa sauce dans un plat creux, le saupoudrer de la coriandre et servir le tout immédiatement !

1 étoile2 étoiles3 étoiles4 étoiles5 étoiles (2 votes, moyenne : 4,50 sur 5)
Loading ... Loading ...

Vivement le printemps 2013 !

Mots-clefs :

Le printemps à Crosne, c’est l’occasion de la brocante-vide greniers de printemps, évidemment !

Pour Chantal, le printemps c’est la saison du renouveau où il est temps de quitter la maison et les épisodes hyper-ressassés de Hercule Poirot le navet, Miss Marlple la tête de fouine et Jessica Fletscher la maline pour aller dans le jardin…

La saison précédente, l’hiver, se termine pour Chantal avec les fêtes de fin d’année après une forte poussée de fièvre acheteuse qu’il faut acompagner d’une forte consommation de cacao pour ne pas risquer la déprime… Puis, en janvier et jusque vers fin février, c’est sa période de léthargie façon plantigrade ou marmotte… Enfin, c’est ce qu’on croit… Parce que en fait, Chantal classe ses idées de changements ménagers, dans son sommeil paradoxal tout d’abord dans sa tête puis dans un de ses innombrables carnets ou classeurs, dans un demi-sommeil… Mars, c’est le réveil et la grande période de nettoyage de printemps pour mettre en oeuvre ces innombrables idées accumulées…

Pour moi, c’est le début de la galère : certains objets que j’utilise couramment changent chaque jour de place ou sont remisés dans des cartons, quelque part… Je ne sais plus quoi faire lorsque je cherche quelque chose : si jamais je lui demande où c’est désormais, j’ai évidemment pour réponse « de toutes façons, tu ne sais pas chercher »… C’est sûr, moi je ne passe pas mon temps à fouiner dans la maison pour renifler où ont bien pu passer les objets qui étaient dans la maison et qui ont changé de place (ça je sais qu’ils ont changé de place mais où sont ils : déplacés, cachés en 2ème ou 3ème filede rangement, voire remisés dans une annexe de la maison, rangées en carton, jetés ? Mystère… Mais toute question à ce propos peut-être considérée comme une provocation si Chantal n’est pas saturée de cacao…

Cette période de modification du contenu de la maison s’étend de début mars jusqu’à l’arrivée effective du printemps où Chantal peut sortir dans le jardin pour exterminer toute plantation sortie de son affection et replanter les nouveaux trucs et suspendre les clochettes, niches et abreuvoirs et lavoirs à oiseaux, cacher des miroirs brocantés pour faire croire aux animaux que le jardin se poursuit au-delà du mur de la rue ou de la clôture avec les voisins, etc.

En cette année 2013, le printemps tarde à venir… Du coup pour moi, 2013 restera une annus horribilis : près de 2 mois désormais où chaque matin, en me levant au soleil du même nom, je constate que Chantal a passé sa journée et la nuit précédente à poursuivre et recommencer son action de réforme du logement… Et plus le printemps tarde à venir, plus la sève printanière de Chantal monte et plus son activité pré-printanière redouble en efficacité…

Bref, cette année ça a été dur …très dur… m’enfin, Chantal n’a pas encore osé s’attaquer à mon espace privé et à nos deux armoires à épices… Par contre, le reste du contenu de la cuisine… des bibliothèques, de la salle à manger, du salon, de la salle de bains, des annexes …je vous dis pas…

Un moyen pour mettre fin à cette activité débordante post-hivernale de Chantal est l’apparition des vide-greniers brocante de printemps qui lui permet de transformer son énergie en nouvelle montée de fièvre acheteuse…

Ce matin, c’était donc la brocante de printemps de Crosne…

Comme hier, on avait reçu des amis chers qui sont partis vers 1h45 du matin après que l’on ait passé une excellent soirée avec eux, Chantal m’a dit (alors que je montais roupiller), « je vais ranger quelques trucs et je monte… ». En fait, je me réveille et lève comme d’hab vers 6 h du matin, lorsque le soleil commence à pointer son nez (dehors les fourgonnettes commencent à remonter la rue pour aller installer leurs étalages de vide-grenier, avenue Salvator Allende, depuis la place des droits de l’homme jusqu’au collège… Je descends prendre mon café pour me requinquer et je me rends compte alors que tout a été nettoyé, lavé, essuyé, empaqueté et rangé… Chantal m’apprendra à son réveil, vers 8h30, qu’elle s’est couchée vers 5h30…

Bref, à 9h, on part pour la brocante (avec la Xsara Picasso car il vaut mieux prévoir de grands volumes pour ramener les sangliers récoltés lors de la chasse à la brocante..). Coup de bol, on trouve à se garer tout près de l’entrée de la brocante…

Dès le premier stand, j’ai vu que Chantal était en hyper-forme, flairant de ci de là comme un chien de chasse qui est à l’affût depuis plusieurs mois et courant de droite à gauche en reniflant toutes les bonnes affaires qui peuvent l’intéresser… La crise aidant, depuis quelques années, on trouve de plus en plus d’excellentes affaires à saisir dans ces brocantes (lorsqu’il n’y a pas que des m…..). Là ce matin, il y avait de bonnes occases à saisir et 60 euros et 2h30 plus tard, voici le résultat de notre chasse !

Pour commencer, un très beau moule ancien à brioche familiale en cuivre parfaitement étamé à l’intérieur.

Ensuite un pique-fleurs original : il s’agit en fait d’un couvercle pique-fleurs se posant sur une coupelle et non d’un pique-fleur « boule » en un seul bloc… Nous les pique-fleurs on les utilise comme porte-crayons… On a plus qu’à trouver une coupelle du bon diamètre sur laquelle se posera harmonieusement ce pique-fleurs !

Deux petits ramequins en verre bleu permanganate, salière, poivrière (on manque un peu de salières et poivrières : un jour, je pense que je vais écrire une encyclopédie sur les différents modèles que nous avons…).

Tricotin ancien en forme de champignon et qui a beaucoup servi !

Six verres à vin blanc soufflés, non moulés car « sans couture », à pieds torsadés, et coupes d’un magnifique rouge rubis, poinçonnés H par leur souffleur sur leur pied, de pure tradition lorraine : des merveilles même si ce ne sont pas des Daum car d’une facture authentiquement artisanale avec une ou deux petites bulles de-ci de-là dans la coupe… 10 euros les 6 : une occasion pareille ça ne se laisse pas passer !

Une vitrine murale où à poser avec fond en miroir en parfait état et d’une très belle facture (même si elle n’est pas forcément ancienne…). Chantal lui a déjà trouvé une très bonne place ! 10 euros aussi !

Une assiette à dessert bretonne ancienne, non signée mais digne d’une Henriot par son motif et ses couleurs : 5 euros !

Un réglet Facom, 30 cm, jamais servi, 2 euros !

Une petite carafe à bec verseur avec bouchon à l’émeri en cristal parfaitement adapté.

Trois animaux « articulés » en bois, parfait état à 1 euro pièce : un chat, un renard et un couple cigale et fourmi qui viennent compléter le chat et le lion que nous avions déjà ! On sent que ça va plaire à notre petite Miranda !

Deux bouteilles graduées dans les deux sens, une de 1 l, l’autre de 50 cl, 10 petits flacons de pharmacie (idéaux pour mettre les sables « souvenirs de voyage »), 1 flacon pschitt-pschitt à parfum en verre soufflé et imprimé, sans couture, un flacon en verre coloré, achetés en 4 lots, le tout pour 5 euros !

2 loupes de bonne qualité (pour 5 euros les 2) et aussi deux paires de lunettes loupes force 2.50, une à 2 euros et l’autre à 5 euros…

Et aussi, pour finir, 12 paires de chaussettes noires en coton pour 5 euros la douzaine, vendus par un gigantesque hableur noir comme on les aime… Un léger résidu de dyslexie de Chantal a fait qu’elle a donné un billet de 10 euros au grand noir qui lui a répondu « ok, je vous rends 5 euros » mais Chantal continuait à chercher dans son porte-monnaie en lui disant « Attendez je vous donne 2 euros… » et comme le grand noir continuais à lui dire, « Non pas la peine, je vous rends 5 euros », et que Chantal insistait, je suis intervenu pour qu’il n’en viennent pas aux mains… Car je ne suis pas sûr que le grand noir aurait eu le dessus… Mais Chantal a fini par me croire quand je lui disais que c’était 5 euros les 12 et non 12 euros les 5 ! :)

1 étoile2 étoiles3 étoiles4 étoiles5 étoiles (3 votes, moyenne : 5,00 sur 5)
Loading ... Loading ...

Travers de porc aux noisettes

Mots-clefs :

Plat

Ingrédients (pour 4 personnes) :
- 1 kg de travers de porc,
- 4 feuilles de sauge,
- 25 g de beurre,
- 50 g de noisettes sèches décortiquées (environ 40) ou en poudre (soit 125 g non écalées),
- 1 cuillerée à café de fond de volaille déshydraté,
- 2 cuillerées à soupe de coriandre ciselée ou de persil plat ciselé (frais ou séché),
- 3 gousses d’ail,
- 1 cuillerée à soupe d’huile de noix,
- 20 cl de vin blanc sec,
- sel et poivre des moulins.

Temps nécessaires :
- préparation : 15 minutes,
- cuisson : environ 40 minutes.

Découper les travers de porc transversalement entre chaque côte. Laver et sécher les feuilles de sauge.

Faire mousser le beurre dans une sauteuse puis y faire dorer les morceaux de travers à feu assez doux (thermostat plaque 4/9) en retournant de temps en temps.

Lorsque ça commence à dorer, saler et poivrer, ajouter les feuilles de sauge et retourner.

Pendant ce temps, écaler les noisettes (si ce n’est pas déjà fait), laver sécher et ciseler la coriandre ou le persil (si ce n’est pas déjà fait), éplucher et dégermer l’ail.

Passer les noisettes au mixeur pour les transformer en poudre granuleuse grossière (si ce n’est pas déjà fait).

Ajouter le fond de volaille déshydraté, la coriandre ou le persil ciselé, l’ail pressé au presse-ail, mélanger puis ajouter l’huile de noisette et le vin blanc.

Arroser les morceaux de travers avec le mélange, mélanger, porter à ébullition puis baisser le feu pour laisser mijoter 35 à 45 minutes en retournant de temps en temps.

Servir bien chaud, accompagné par exemple d’une ratatouille que l’on pourra avoir préparée la veille et que l’on fera réchauffer pendant que les travers cuisent !

S’accommode très bien d’un vin blanc plutôt sec !

1 étoile2 étoiles3 étoiles4 étoiles5 étoiles (2 votes, moyenne : 4,00 sur 5)
Loading ... Loading ...

Gratin de merlu béchamel au chou-fleur

Mots-clefs :

Plat complet

Les choux-fleurs sont particulièrement beaux en cette fin de saison d’hiver qui va bientôt finir ! Vite, il faut en profiter !

Ingrédients (pour 4 personnes) :
- 500 g de filets de merlu,
- 700 g d’inflorescence de chou-fleur,
- gros sel de mer,
- 60 g de beurre,
- 30 g de farine,
- 50 cl de lait,
- 1 pointe de muscade,
- 20 g de parmesan râpé,
- sel et poivre des moulins.

Temps nécessaires :
- préparation : 15 minutes,
- cuisson : 40 à 45 minutes.

Éliminer la base et les feuilles du chou-fleur, le rincer sous l’eau courante puis le détailler en petits bouquets en éliminant un maximum de gosses tiges.

Cuire ces bouquets à la vapeur d’eau salée dans un autocuiseur, 5 minutes à partir de la mise en rotation de la soupape puis décompresser dès la fin de la cuisson et rafraîchir immédiatement sous l’eau froide courante. Laisser égoutter.

Mettre le four à réchauffer à 180°C.

Faire fondre 20 g de beurre dans le fond d’un grand plat à gratin.

Disposer les filets dans le fond du plat pour qu’ils couvrent toute la surface puis saler et poivrer.

Compléter le remplissage du plat avec des inflorescences de chou-fleur (pratiquement jusqu’au ras du plat).

Préparer la sauce béchamel !

Dans une casserole, mélanger à feu doux 30 g de beurre et la farine avec une cuiller en bois jusqu’à ce que la préparation mousse.

Ajouter le lait, saler poivrer.

Porter à ébullition puis baisser le feu et faire épaissir en mélangeant.

Ajouter la muscade et le parmesan.

Mélanger et laisser mijoter 1 à 2 minutes en continuant de mélanger.

Goûter la sauce béchamel et en napper le chou-fleur ; si la sauce béchamel était fade, rectifier l’assaisonnement avec sel et/ou poivre sur le dessus du plat.

Parsemer le plat de petits morceaux des 10 g de beurre restant et enfourner à mi-hauteur du four pour 40 à 45 minutes. Au bout de 35 minutes, si ça n’a pas commencé à gratiner, mettre le four en position grill moyen en le laissant à 180°C. Au bout de 35 minutes, si ça n’a pas commencé à gratiner, mettre le four en position grill moyen en le laissant à 180°C.

Servir bien chaud dès que c’est légèrement gratiné.

1 étoile2 étoiles3 étoiles4 étoiles5 étoiles (6 votes, moyenne : 4,00 sur 5)
Loading ... Loading ...