Les boulettes à la façon de la Grecque Melina

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Bœuf haché + 3 petits oignons + 2 œufs entiers + 2 poignées de riz cuit + persil + tenez vous bien : de la Worcester sauce + 2 cuillères à soupe d’huile + thym + citron + parmesan râpé.

La sauce de ces boulettes a accompagné la grecque Melina dans tous ses périples à travers le monde. Elle la fait en mélangeant de l’eau, du beurre, de la tomate pelée. On fait cuire le tout 1/2 heure. on lie avec 2 œufs entiers. On ajoute de la crème fraîche et tenez vous bien de la Wocerster sauce.

Je n’en ai jamais mangé ailleurs qu’au Georges V où Melina avait une suite. Leurs deux amies gouvernantes faisaient de la cuisine grecque dans la chambre de l’hôtel. C’est merveilleusement bon, ce sont les meilleures. Je n’ai jamais connu d’endroit plus gai que cette suite de Melina au Georges V. J’y ai connu des gens comme eux. Melina et Jules Dassin sont parmi les gens adorables de ma vie. Le plus grand fou-rire de ma vie s’est produit avec Melina à Madrid où Delon était venu  » me saluer  » et qui ne comprenait pas pourquoi on riait. On riait pour rien. Dès qu’on se voyait, on éclatait.

Marguerite Duras, La cuisine de Marguerite, janvier 1999.

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Les boulettes sans nom

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Bœuf et veau + 2 œufs entiers + farine + oignon haché fin + pain trempé dans de l’eau chaude + cumin (ou carvi).

Jamais mangé. Je ne me suis jamais souvenue de qui me l’avait donnée, un Grec ou une personne du Moyen-Orient.

Marguerite Duras, La cuisine de Marguerite, décembre 1999.

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Les boulettes Pojardsky soi-disant

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Mélangez du veau haché, avec du pain trempé dans du lait, de la kacha, de la farine de sarrasin (peu), un ou deux œufs entiers, de l’estragon.

le reste, je ne l’ai pas noté. Je l’ai noté seulement pour le mot kacha, je ne sais pas ce que c’est.

Marguerite Duras, La cuisine de Marguerite, janvier 1999.

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Pizza crevettes mozarelle

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Amuse-gueule, Entrée, Plat

Ingrédients (pour 4 personnes en plat, 8 en entrée, 16 en amuse-gueule) :
- 1 rouleau de pâte à pizza rectangulaire,
- 200 g de petites crevettes roses surgelées,
- 1 tomate,
- 20 cl de coulis de tomate,
- 16 olives noires dénoyautées,
- 100 g soit environ 14 petites boules de mozzarelle,
- 25 g de parmesan râpé,
- sel fin et poivre moulu.

Temps nécessaires :
- préparation : 20 minutes,
- cuisson : 18 à 20 minutes,
- attente : 10 minutes.

Sortir la plaque du four et le préchauffer à 200°C (thermostat 6-7).

Dérouler la pâte à pizza et la déposer sur la plaque du four. Rouler les 4 bords de manière à faire un boudin d’environ 1 cm de haut.

Mettre les crevettes dans une passoire, les passer sous l’eau froide pour les dégeler puis les laisser égoutter.

Mettre la tomate dans un grand bol d’eau et chauffer 2 minutes 30 secondes au four à microondes puis la rafraîchir et l’émonder (enlever la peau, le pédoncule et les graines).

La mixer avec le coulis, sel et poivre, goûter et ajuster si nécessaire l’assaisonnement.

Ajouter les crevettes, mélanger et répartir le mélange sur la pizza.

Couper les boules de mozzarelle en 2 et les répartir sur la pizza puis faire de même avec les olives.

Saupoudrer de parmesan et enfourner dans le bas du four pour 18 à 20 minutes.

Laisser reposer une dizaine de minutes avant de servir.

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Catherine Nay m’étonnera toujours…

Désormais, elle prend la défense de la CGT en disant que la France a vraiment un problème avec l’argent car on mène injustement ce syndicat ouvrier (?) au caniveau en révélant qu’il a consacré 130.000 euros pour remettre en état un logement HLM à Paris d’environ 100 m2 pour son nouveau secrétaire général qui, vivant dans le Calvados, n’avait pas de pied à terre en région parisienne…

Bravo, Catherine ! Les billets de soutien à Mélanchon, c’est pour bientôt ?

Aurait-elle beaucoup plus gros sur la conscience qu’elle chercherait à se faire pardonner par avance, cette sainte n’y touche ?

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Paupiettes de veau aux petits pois confits

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Plat complet

Ingrédients (pour 4 personnes) :
- 4 grosses ou 8 petites paupiettes de veau (compter 120 à 150 g par personne),
- 2 cuillerées à soupe de matière grasse (gras de jus de rôti, margarine ou beurre),
- 2 oignons sauciers,
- 150 g de lardons nature,
- 10 cl de vin blanc sec,
- 1 tablette de bouillon de volaille déshydraté,
- 1 boîte de petits pois format ½ (800 g brut)
- poivre du moulin.

Temps nécessaires :
- préparation : 30 minutes,
- cuisson : 45 minutes.

Dans une marmite, faire fondre la matière grasse, y déposer les paupiettes et les faire revenir sur feu assez doux à moyen thermostat plaque 4 à 5/9) en retournant souvent avec une spatule jusqu’à ce qu’elles commencent à dorer de toutes parts (compter un bon quart d’heure).

Pendant ce temps éplucher et hacher assez finement les oignons.

Une fois que les paupiettes sont colorées, les réserver dans une assiette creuse et faire suer et revenir l’oignon et les lardons.

Ajouter le vin blanc, 2 cuillerées de gelée de jus de rôti, émietter la tablette de bouillon de poule.

Mélanger et porter à ébullition pour que la gelée fonde, mélanger de nouveau puis remettre les paupiettes sur le dessus (sans leur jus relâché) puis les petits pois avec environ 5 cl de leur jus.

Poivrer, couvrir puis laisser mijoter 45 minutes sur feu assez doux à doux (thermostat plaque 4 à 3/9) en vérifiant de temps en temps que ça ne dessèche pas trop (sinon rajouter du jus des petits pois).

Le dernier ¼ d’heure, s’il y a trop de jus de cuisson, laisser évaporer en enlevant le couvercle.

Servir bien chaud.

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Tartiflette d’Ambert au poulet

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Plat complet

Ingrédients (pour 4 personnes) :
- 750 g de pommes de terre (bintje, roseval, … par exemple),
- 2 filets (blancs) de poulet (soit environ 250 g),
- 3 oignons sauciers,
- 2 cuillerées à soupe d’huile de ménage,
- 20 g de margarine,
- 1 gousse d’ail,
- 1 cuillerée à café de persil séché,
- 1 cuillerée à café d’estragon séché,
- 1 cuillerée à café de cerfeuil séché,
- sel et poivre des moulins,
- 1 tranche de fourme d’Ambert d’environ 250 g.

Temps nécessaires :
- préparation : 25 minutes,
- cuisson : environ 45 minutes.
- repos : 5 minutes.

Éplucher et hacher les oignons.

Dans une poêle, faire chauffer l’huile, y faire fondre la margarine puis, à feu doux (thermostat plaque 3/9), y faire dorer légèrement l’oignon en retournant avec une spatule de temps en temps.

Mettre le four à préchauffer à 220°C (thermostat 7-8).

Éplucher les pommes de terre puis les couper en fines lamelles, façon chips.

Éplucher et dégermer l’ail et le presser au presse-ail sur l’oignon lorsque celui-ci commence à dorer. Mêler puis poursuivre la cuisson 2 minutes en retournant périodiquement avec la spatule.

Répartir l’oignon et l’ail au fond d’un moule à cake.

Couper de fines lanières dans le sens long des filets de poulet puis les faire dorer dans la poêle en retournant de temps en temps avec la spatule.

Mélanger le persil, l’estragon et le cerfeuil dans un petit bol.

Recouvrir les oignons avec la moitié des lamelles de pommes de terre, saler modérément, poivrer et saupoudrer la moitié des herbes, disposer les lanières de poulet dorées dans le sens long du moule pour former une couche, sur le lit de lamelles de pommes de terre, saler modérément, poivrer, saupoudrer du reste des herbes.

Couvrir du reste des lamelles de pomme de terre, tasser avec le dos des mains, saler modérément, poivrer et enfourner à mi-hauteur du four pour 15 minutes.

Couper la tranche de fourme d’Ambert diamétralement.

Une fois les 15 premières minutes de cuisson achevées défourner le moule, disposer les demi-tranches de fourme « têtes-bêches » sur les pommes de terre puis renfourner pour environ 30 minutes, jusqu’à ce que le fromage fonde et commence à dorer sur le dessus.

Au besoin, si le fromage n’a pas doré en fin de cuisson, mettre le four en position grill moyen et laisser griller 2 minutes.

Sortir le moule du four, laisser reposer 5 minutes puis servir et déguster.

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Daube de mouton avignonnaise

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Plat complet

Une recette de Christian Étienne, maître cuisinier provençal du restaurant 10 rue de Mons en Avignon, réalisée lors de l’escapade de Jean-Luc Petitrenaud à Saint-Bonnet-du-Gard.

Un bon plat provençal avec des produits de début d’automne !

Si pour les gigots rôtis, il faut utiliser un gigot de jeune agneau, pour cette recette de daube, préférer un agneau broutard plus dans sa prime jeunesse dont la viande a pris de la couleur et de la force en goût !

Ingrédients (pour 6 personnes) :
- 1.5 kg de gigot de jeune mouton,
- 3 cuillerées à soupe d’huile d’olive,
- 100 g de lard de poitrine fumé en tranches d’environ 2 à 3 mm d’épaisseur,
- 2 cuillerées à soupe bombées de farine,
- 1 gros oignon jaune,
- 3 carottes,
- 2 feuilles de laurier,
- 3 brins de thym,
- 1 brin de romarin,
- 2 clous de girofle,
- 5 grains de poivre noir,
- une lanière de 10 cm de long de zeste d’orange séché,
- 1,5 l de vin rouge corsé (corbières par exemple),
- 500 g de girolles,
- 500 g de rosés des prés,
- gros sel de mer.

Temps nécessaires :
- préparation : 30 minutes (le reste en temps masqué),
- cuisson : au moins 2 heures.

Désosser le gigot et couper la viande en gros dés d’environ 3 cm de côté.

Faire fumer l’huile d’olive dans une cocotte et y faire revenir les morceaux de gigot (avec les os pour donner du goût…) à feu moyen (thermostat plaque 5/9). Saler d’une cuillerée à soupe rase de gros sel.

Couper les tranches de lard de poitrine en bâtonnets d’environ 8 mm de large et les ajouter dans la cocotte lorsque les morceaux de gigot commencent à être bien revenus…

Pendant que ça continue à revenir, éplucher l’oignon, le couper en 2 dans la hauteur puis en tranches transversales de 3 à 5 mm d’épaisseur et défaire les demi-anneaux sur la viande.

Éplucher les carottes, les couper en tranches obliques de 2 mm d’épaisseur et les ajouter dans la cocotte.

Ajouter le laurier, le thym, le romarin, les clous de girofle, les grains de poivre, le zeste d’orange, couvrir le tout du vin rouge.

Saupoudrer avec la farine et mélanger.

Porter à ébullition, couvrir et laisser mijoter 2 heures sur feux assez doux à moyen (thermostat plaque 4 à 5/9) en disposant le couvercle de la cocotte pour que ça évapore un peu et que la sauce épaississe…
Éliminer le pied terreux des champignons et les brosser pour éliminer les éventuelles traces de terre (surtout ne pas les laver !). Détacher les pieds des chapeaux des rosés des prés et couper les plus grosses girolles en 2 dans leur longueur.

30 minutes avant de servir, goûter et ajuster l’assaisonnement si nécessaire. Ajouter les champignons sur le dessus de la cocotte, couvrir pour au moins 15 minutes puis finir éventuellement la cuisson à découvert pour finir d’épaissir la sauce.

Éliminer les feuilles de laurier, le thym, le romarin, les os, le zeste d’orange, mélanger et servir bien chaud.

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