La recette du dredi !

Ne ratez pas cet excellent film, premier long métrage de Nadine Labaki, qui donne un éclairage aux parfums de pâtisseries orientales sur la vie de cinq femmes libanaises d’aujourd’hui, cinq amies d’âges différents qui travaillent et se croisent dans un institut de beauté à Beyrouth…

Et ne tardez pas, car j’ai bien peur que cette pierre précieuse du cinéma ne soit qu’une étoile filante sur les écrans de nos salles obscures…

Allez hop, je m’installe dans mon hamac !

Alors, dépêchez-vous et rendez-vous à Carré Sénart ! C’est le dernier jour !

Leur annonce ne dit pas s’ils organisent également une circoncision des poneys juifs…

Plat principal avec son accompagnement

Un grand classique de Chantal …dont on ne se lasse pas !

Ingrédients (pour 4 personnes) :
- 800 g de roussette,
- 4 échalotes,
- 2 cuillerées à soupe d’huile d’olive,
- 60 g de beurre doux,
- 2 ou 3 cuillerées à soupe de vinaigre de vin,
- sel fin et poivre du moulin,
- 800 g de pommes de terre (Roseval, Charlotte ou rattes par exemple),
- en option 3 ou 4 ciboules.
Temps nécessaires :
- préparation : 10 minutes,
- cuisson : 30 minutes.

Découper la roussette en tronçons.

Éplucher et hacher finement les échalotes.

Si vous avez retenu l’option ciboules, les éplucher et en détailler vert et blanc en fines tranches…

Faire fondre le beurre et l’huile d’olive dans une poêle.

Y faire dorer la roussette pendant environ 15 minutes en retournant régulièrement les morceaux.

Ajouter les échalotes et les ciboules éventuelles.

Saler, poivrer et continuer la cuisson à feu doux pendant 10 minutes, transférer la roussette dans le plat de service et réserver au chaud.

Ajouter le vinaigre dans la poêle, porter à ébullition puis baisser le feu en laissant bouillir 2 à 3 minutes.

Servir chaud accompagné des pommes de terre cuites à la vapeur (10 à 12 minutes en autocuiseur, selon leur grosseur, à partir du début de rotation de la soupape), épluchées ou en robe des champs selon votre goût.

En plein cœur de Paris, une cinquantaine de producteurs fermiers viennent de toutes les régions de France, pour proposer leurs produits succulents et étonnants !

Lieu : place des Vins de France, station de métro Cour Saint-Émilion, ligne 14.
Horaires (entrée gratuite) :
- le jeudi 20 septembre de 11h00 à 20h00,
- le vendredi 21 septembre de 9h00 à 20h00,
- le samedi 22 septembre de 9h00 à 20h00,
- et le dimanche 23 septembre de 9h00 à 13h00.

Cette année vous pourrez y trouver :
- des fruits et légumes issus de l’agriculture bio, des champignons, des plantes aromatiques, de l’aïl rose de Lautrec, …
- des huiles d’olive, de colza, de tournesol et aromatisées,
- des produits de la pêche en mer, des escargots, …
- des volailles, des canards et oies grasses et leurs produits dérivés, des viandes et produits dérivés de lapins, d’agneaux, de porcs, de sanglier, de cerf, de bœuf charolais, d’autruche,
- des fromages de vaches et de chèvres et notamment Livarot, Pont l’Évêque, Pavé d’Auge, tommes de chèvre, …
- des vins d’Alsace, de Saint-Émilion, de Pomerol, de Bourgogne, des Côtes-du-Rhône, de Cartagène, de Loupiac, du Haut-Poitou, …
- des cidres et produits dérivés,
- des vinaigres,
- des noix, des pruneaux, des confitures et liqueurs de fruits rouges, …
- des miels et dérivés, des pains d’épices,
- de l’Armagnac,
- …
et y déguster, entre autres : un tartare d’algues fraîches, une terrine de canard à l’abricot, de la galinette, de la séchée d’autruche, de la moutarde au miel, du Brie de chèvre, du Crabotin ou des briques aux artisons, du pain d’épices au gingembre confit, … et goûter au Montagne-Saint-Émilion 2005 ou à la nouvelle AOC Blanche-Armagnac !

Pour plus de renseignements sur ce rendez-vous incontournable pour les franciliens amoureux du terroir, voir Salon fermier de Bercy.

Ingrédients (pour 10 cl de sauce) :
- 1 œuf dur,
- 1 cuillerée à soupe de vinaigre de vin (blanc de préférence) ou le jus d’un demi citron,
- 2 échalotes,
- 1 bonne pincée de sel fin,
- 1 pointe de poivre fin (blanc de préférence),
- 3 cuillerées à soupe d’huile (de tournesol par exemple),
- quelques brins de persil plat, de cerfeuil commun, de ciboulette et d’estragon,
- et, en option, 1 cuillerée à soupe de câpres au vinaigre.

Temps nécessaire : 5 minutes (plus 15 minutes pour cuire l’œuf dur et, si possible, 1 à 2 h de repos).

Éplucher les échalotes et les hacher finement.

Dans un bol, écraser le jaune d’œuf dur avec une fourchette puis le délayer avec le sel dans le vinaigre. Poivrer, ajouter l’échalote puis l’huile, émulsionner avec la fourchette et laisser reposer autant que possible 1 à 2 heures, au moins.

Peu avant de servir, laver, sécher et ciseler finement les fines herbes et les ajouter à la sauce, ainsi que les câpres éventuelles. Bien mélanger le tout et émulsionner à la fourchette puis servir en saucière ou en nappant le met destiné à être agrémenté.

C’est évidemment une incontournable avec la tête de veau mais elle accompagne également très bien les viandes de pot-au-feu, chaudes ou froides, les viandes en gelée, …

Il faut savoir en profiter !

Alors, hop ! Même s’il pleut, je me jette à l’eau !

David, jeune étudiant qui vient de quitter son foyer maternel, a invité sa mère à dîner. Lors du repas, celle-ci ne peut s’empêcher de remarquer que Julie, la colocataire de son fils, est sacrément mignonne.

Pendant la soirée, alors qu’elle observe la façon dont David et Julie se comportent l’un envers l’autre, elle se demande s’il n’y a pas entre eux un peu plus que le simple partage d’un loyer…

Mais David, devinant les pensées de sa mère, lui dit :
- « Maman, je sais ce que tu penses mais je t’assure que Julie et moi ne faisons que partager un appartement… c’est tout. »

Une semaine plus tard, Julie dit à David :
- « Dis-donc, depuis que ta mère est venue dîner, je ne trouve plus la louche. Tu crois qu’elle l’aurait prise ? »

David : « Quand même, ça m’étonnerait que Maman soit devenue pickpocket ! Mais bon, je vais lui écrire un mail pour en avoir le coeur net. »

Il s’assied devant son ordinateur et écrit : « Ma chère Maman, je ne dis pas que tu as embarqué notre louche et je ne dis pas non plus que tu n’as pas pris la louche, mais il n’en reste pas moins vrai que cette louche a disparu depuis que tu es venue dîner. Bisous, David. »

Et le lendemain matin, David reçoit la réponse de sa mère :  »Mon cher David, je ne dis pas que tu couches avec Julie et je ne dis pas non plus que tu ne couches pas avec Julie. Mais il n’en reste pas moins vrai que si Julie dormait dans son lit, vous auriez retrouvé la louche depuis longtemps. Bisous, Maman. »