Quasi de veau aux champignons de Paris
Plat avec son accompagnement
Une recette « d’Émile Menu » (volume 1, page 35), notre bible de jeunesse !
Ingrédients (pour 2 personnes) :
- 2 morceaux de quasi de veau de 200 g chacun (ou de noix, sous-noix, …),
- 25 g de matière grasse (beurre doux, margarine, saindoux, …),
- 1 oignon saucier,
- une boîte format ¼ de champignons de Paris émincés soit environ 120 g nets,
- 10 cl de crème fraîche épaisse,
- 10 cl de crème fraîche fleurette ou de lait,
- 4 brins de persil plat,
- gros sel, sel fin et poivre du moulin,
- 125 g de coquillettes.
Temps nécessaires :
- préparation : 20 minutes,
- cuisson : 15 minutes.
Faire bouillir de l’eau dans une grande casserole.
Mettre le plat de service à réchauffer dans le four à 75°C (thermostat 2-3).
Faire fondre la matière grasse dans une poêle et y faire griller la côte de veau des 2 côtés.
Pendant ce temps, éplucher l’oignon et le hacher finement.
Lorsque la côte de veau est bien grillée, la réserver dans une assiette creuse.
Faire suer et colorer l’oignon dans la poêle.
Saler l’eau bouillante avec 1 cuillerée à soupe de gros sel, y plonger les coquillettes et cuire le temps indiqué sur l’emballage (généralement 7 minutes).
Ajouter les champignons dans la poêle et faire revenir 5 minutes à feu moyen en évaporant leur saumure de conservation (thermostat plaque 5/9).
Pendant ce temps, laver, sécher et ciseler le persil.
Ajouter la crème fraiche et déglacer les sucs de cuisson en grattant avec une spatule en bois et faire épaissir pendant 2 à 3 minutes.
Ajouter le persil dans la poêle ainsi que les côtes et réchauffer 2 à 3 minutes.
Égoutter les coquillettes, les transvaser dans le plat de service, dresser le quasi de veau sur le plat puis compléter avec les champignons à la crème et servir bien chaud.
Je viens de découvrir ton blog que j’apprécie beaucoup! Je peux me permettre de t’ajouter à mes favoris? merci et n’hésite pas à venir voir mon blog également!
Ou’aïl not comme dirait l’oignon… Bien que je me demande à quoi peut bien servir la référence de mon blog sur le site d’une « presque végétarienne… » ?
C’est pas mon genre…
Car l’homme (et la femme) sont omnivores comme le cochon (et la truie) depuis des millions d’années et c’est pour ça qu’on a perdu nos poils, sauf localement, sur le crâne, le visage et quelques autres endroits que je ne citerai pas …pour poursuivre le gibier longtemps en transpirant sans haleter, contrairement aux autres primates ou prédateurs carnivores…
Qu’on s’en rappelle !
Sinon, ton blog est très bien et très sympa aussi !
Bons légumes, Peggy !